LES VACANCES !!! ....AH QUEL BONHEUR !   
Mais aussi .... que de soucis ! Quelques conseils :

DE TOUTES LES FAÇONS:
CONSULTER UN MEDECIN EN CAS DE TROUBLES.

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Vaccinations :   Depuis quelques années, seule la vaccination anti-amarile (fièvre jaune) reste obligatoire pour entrer dans certains pays. ----Calendrier vaccinal Français

WEST NILE (Amérique du Nord), DENGUE (zones tropicales), MENINGITES A MENINGOCOQUE (AFRIQUE), CHIKUNGUNYA (Ile Maurice, La Réunion), sont en pleine recrudescence !! : www.sante-voyages.com

ATTENTION AUX ALLERGIES : Ambroisie (plante sauvage) au Canada et France (vallée du Rhone)

Hépatite A

transmission digestive : aliments, eau, objets portés à la bouche (cuillère, fourchette..), contact étroit avec un sujet infecté... Fatigue, fièvre, nausées, vomissements; jaunisse avec urines foncées et selles décolorées. Maladie rarement grave VACCIN : (adultes et enfants) 1 dose, rappel  à 1 an, puis rappel tous les 10 ans.

Hépatite B

==> Aucune preuve sérieuse n'a été retrouvée à ce jour pour contre-indiquer ce vaccin.
transmission sanguine ou sexuelle : aiguilles souillées, rapports sexuels non protégés avec un sujet infecté... Fatigue, fièvre, nausées, vomissements; jaunisse avec urines foncées et selles décolorées. Maladie qui peut devenir très grave et parfois rapidement mortelle (hépatite fulminante) VACCIN : (adultes et enfants) 1 dose, 2ème dose à 1 mois ; rappel à 6 mois, puis rappel tous les 10 ans.

Tétanos

transmission sanguine : plaie ou piqûre par objet souillé, avec de la terre humide ou des excréments d'animaux (chevaux surtout) Fatigue, fièvre, raideurs musculaires avec difficulté pour ouvrir la bouche et gêne respiratoire.  Maladie  très grave et  rapidement mortelle en l'absence de réanimation. VACCIN : (adultes et enfants) 3 doses espacées d'un mois,  rappel à 1 an puis rappel tous les 10 ans.

Monde Rural et Forestier

Poliomyélite

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Maladie liée à un virus devenue rare depuis la généralisation de la vaccination Fatigue, fièvre, paralysie musculaire. Risques d'atteinte respiratoire et de séquelles musculaires. VACCIN :  injectable ou oral ; 3 doses espacées d'un mois puis rappel à 1 an et tous les 10 ans.

épidémies rares, saisonnières (été, automne).

Fièvre jaune

Maladie transmise par le Moustique AEDES  AEGYPTI : 
Incubation 1 à 6 jours. Souvent bénigne, parfois mortelle. Zone inter-tropicale, l'Asie est épargnée.
Tableau grippal en deux phases séparées par une remission de 24/48h :
* rougeur et fièvre
* jaunisse par atteinte hépatique et rénale 
VACCIN : (adultes et enfants de plus d'un an) valable 10 ans. Dans quelques centres (Institut Pasteur, Aéroports..)

choléra

Maladie : Souvent bénigne, parfois mortelle. Transmission par voie alimentaire (eau, aliments souillés). Agent pathogène : Vibrion cholérique. Diarrhées abondantes, pas de fièvre, douleurs abdominales, risques de déshydratation.  VACCIN : (adultes et enfants)  en cas d'épidémie Mais   La vaccination contre le choléra n'est plus disponible en France, compte tenu de sa faible efficacité.
Fièvre typhoïde

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Maladie grave, parfois mortelle. Transmission par voie alimentaire (eau, aliments souillés). Agent pathogène : Bacille : Salmonelle. FIEVRE élevée, souvent diarrhées abondantes, déshydratation, lésions intestinales VACCIN : (adultes et enfants) à proposer en cas de séjour en zone d'endémie ou en cas d'épidémie Répandue dans les région chaudes, voire tempérées

Diphtérie

Maladie : angine + rhinite avec fièvre discrète pouvant évoluer vers des complications respiratoires, hémorragiques ou cardiaques VACCIN : (adultes et enfants) à proposer en cas de séjour  en zone  d'épidémie Maladie devenue rare mais une réapparition récente de petites épidémie (Asie) incite à la prudence

Méningites

Maladie : céphalées, vomissements, raideur de nuque due au méningocoque  (à différencier des méningites virales et des autres causes = tuberculose, leptospirose...)  VACCIN : (adultes et enfants) à proposer en cas de séjour  en zone d'épidémie Répandue dans le Monde, épidémique.

3 autres vaccinations sont possibles ; elles ne sont proposées que dans des cas particuliers:
La rage, vaccination réservée aux professions exposées.
L'encéphalite japonaise B, maladie transmise par un moustique (Culex)
La méningo-encéphalite à tiques

 

Autres maladies :                                Retour index  

Amibiase

La forme classique se traduit par des diarrhées (glaires + sang) et de la fièvre, la maladie peut atteindre le foie (abcès du foie) et le poumons (crachats marrons) ; elle se rencontre dans les pays chauds, mais peut exister aussi dans les zones tempérées.

Dengue

Maladie transmise par le Moustique AEDES : 
Incubation 2 à 7 jours. Souvent bénigne, parfois mortelle.
Fièvre, douleurs musculaires et articulaires, céphalées, éruptions cutanées, inflammation ganglionnaire, risques hémorragiques et d'encéphalite.  Pas de prévention médicamenteuse. Protection contre les piqûres de Moustiques (répulsifs).
Chikungunya
Maladie transmise par le Moustique AEDES : 
Incubation 4 à 7 jours. Souvent bénigne, rarement mortelle.
Le virus Chikungunya (qui signifie en swahili "marcher courbé", en raison des douleurs articulaires qu’il provoque) est un arbovirus transmis par un moustique du genre Aedes. L'Afrique de l’Est, l'Asie du Sud-est et le sous-continent indien sont concernés. Environ 4 à 7 jours après une piqûre de moustique infectante, une fièvre élevée apparaît brutalement avec douleurs articulaires et musculaires touchant les extrémités des membres (poignets, chevilles, phalanges), des oedèmes, des céphalées et, parfois, une éruption cutanée. Des hémorragies bénignes à type d’épistaxis et de gingivorragies peuvent survenir, surtout chez les enfants. L’évolution spontanée de la maladie est le plus souvent favorable. Des formes chroniques existent cependant, caractérisées par des arthralgies persistantes, récidivantes et parfois invalidantes. Le traitement repose essentiellement sur la prescription de paracétamol et d’anti-inflammatoires non stéroïdiens afin de soulager les douleurs. http://www.chikungunya.net/

 La diarrhée du voyageur

 La diarrhée du voyageur (Tourista) est un problème majeur des touristes et des résidents en pays tropical. Elle est  plus gênante que grave son traitement repose sur les antidiarrhéiques, la réhydratation et les antibiotiques intestinaux. La maladie est due à différents germes (Escherichia) parfois virale ou parasitaire.  La contamination s’effectue par l’ingestion d’aliments contaminés : fruits, crudités, poissons et fruits de mer, eau de boisson. Les mains sales et les mouches sont des vecteurs importants Se rencontre dans Toute l'Afrique, Toute l'Amérique du Sud, L'Amérique Centrale , Le pourtour méditerranéen et l'Asie
Leishmanioses -  2 types : viscéral et cutané
Leishmaniose viscérale : maladie mortelle, rencontrée en Inde, en Chine, en Amérique du Sud, parfois en Afrique du nord et en Afrique centrale. Transmise à l'homme par piqûre d'insecte. Fièvre, ganglions, grosse rate, gros foie et anémie, hémorragies et surinfections. Leishmaniose cutanée : 2 formes :
Le bouton d'orient (Bassin méditerranéen, Moyen Orient, Inde, Asie Centrale) : bouton rouge sombre à évolution vers une cicatrisation et la guérison.
* Leishmaniose forestière (Forêts d'Amérique Latine) : ulcérations cutanées évoluant vers des mutilations du visage : pronostic sévère si non traité.

 

Préventions                                                    Retour index  

Prévention contre les MST et le Sida

Les modes de contamination sont maintenant bien connus : ils sont par la voie sanguine (transfusion sanguine, seringues et aiguilles souillées,
rapports sexuels non protégés).
Il convient donc de prendre, le cas échéant, des précautions avant le départ en adhérant à un organisme de rapatriement sanitaire, en achetant des préservatifs de qualité si vous devez en avoir besoin (éviter les produits achetés dans des pays où la qualité n'est pas toujours fiable) et sur place en se protégeant avec des mesures de bon sens. Se faire rapatrier rapidement en cas d'accident en faisant appel à l'organisation d'assistance.

Prévention contre le Paludisme

Le paludisme :
Le paludisme se traduit essentiellement par une fièvre et peut simuler un état "grippal".
C'est une maladie parasitaire  provoquée par des parasites (protozoaires du genre Plasmodium). Cette affection atteint ou menace plus de 54% de la population du globe et provoque 2 millions de morts par an. Elle est caractérisée par des accès de fièvre avec différents signes d'accompagnement et par le risque de complications parfois mortelles. Le traitement est compliqué par l'apparition de résistances aux médicaments les plus employés.
Le paludisme est dû à 4 espèces différentes (Plasmodium falciparum, P. malariae, P. ovale, P. vivax) mais seul P. falciparum est responsable des formes encéphaliques potentiellement mortelles. Classiquement P. falciparum provoque la fièvre tierce maligne, P. ovale et P. vivax provoquent la fièvre tierce bénigne, enfin P. malariae provoque la fièvre quarte.
Seule la femelle de l'anophèle ( le  moustique en cause )  transmet la maladie, elle ne pique que le soir et la nuit.
 Au cours de la piqûre, un moustique injecte les parasites qui gagnent rapidement le foie. Après une phase de multiplication, les parasites sont libérés dans la circulation sanguine et pénètrent dans les hématies (globules rouges). La succession de cycles de libération provoque les accès fébriles.
P. falciparum est répandu à l'ensemble de la zone intertropicale, P. vivax possède lui aussi une large répartition mais il est absent en Afrique Noire. P. malariae présente une répartition plus clairsemée grossièrement superposable à celle de P. falciparum. Enfin, P. ovale est essentiellement retrouvé en Afrique Noire.
 Près de 92 % des cas (environ 5500 cas par an en France) surviennent dans les 2 mois après le retour, mais parfois plus de 1 an après le retour. On estime à 40 le nombre de décès directement liés au paludisme en France chaque année.
La quinine reste le traitement de choix de l'accès palustre compliqué par sa rapidité d'action et la rareté des résistances.  Le relais est pris dès que la voie orale est possible, soit après 2 à 4 jours. La chloroquine (NIVAQUINE) est parmi les plus maniables. Elle garde actuellement tout son intérêt dans des zones géographiques de sensibilité. La méfloquine (LARIAM) a une bonne efficacité  les espèces plasmodiales, en particulier sur P. falciparum chloroquino-résistant, mais reste mal supportée par de nombreuses personnes
(risque de troubles psychiatiques !) . L'halofantrine (HALFAN) a la même efficacité sur les souches multi-résistantes, mais sa tolérance est meilleure.
Actuellement on propose une nouvelle assosiation : ATOVAQUONE et CHLORHYDRATE DE PROGUANIL, (MALARONE®) qui présente l'avantage d'une prise UNIQUE ET SURTOUT une prise simplifiée : 1 comprimé par jour durant la DUREE du séjour et 7 JOURS
SEULEMENT AU RETOUR !
Dans certains cas (femme enceinte, enfants ou sujet intolérant aux anti-paludéens), on peut proposer une antibiothérapie : consulter votre médecin.

 l'OMS  classe 3 zones de pays impaludés. Ces groupes ou zones sont déterminés par les résistances au traitement du paludisme.
Zone I : Moyen-Orient, Amérique centrale, Chine (Nord-Est), Egypte ;
Zone II : Afghanistan, Iran, Inde, Pakistan, Iles de la Sonde, Philippines, Bolivie, Equateur, Pérou, Afrique de Ouest ;
Zone III : Afrique inter-trop., Asie (Sud-Est), Papouasie N. Guinée, Chine (Sud), Bassin Amazonien, Guyane.
  • le paludisme est transmis par la piqûre de moustique (anophèles) et la prévention du paludisme passe donc par la lutte contre les piqûres de moustique. De plus, cette prévention évite la transmission d'autres maladies, transmises par piqûres, comme : la dengue (par des ædes), l'encéphalite japonaise , ...
    Les répulsifs de référence contiennent du DEET. Il faut les appliquer toutes les quatre à six heures, selon l'humidité ou/et la sudation . Ils conviennent pour les adultes et les enfants de plus de 10 ans, et sont contre-indiqués chez la femme enceinte.
    Pour un enfant de moins de 10 ans et plus de 30 mois il est possible d'utiliser des répulsifs à base d'EHD (Ethylhexanediol) concentré à 30% ou de 35/35 concentré à 20-30%.
    Il est aussi conseillé d'imprégner les vêtements par des dérivés de la pyréthrine (par ex: Perméthrine), qui résistent jusqu'à 2 à 6 mois et/ou 6-8 lavages. Enfin il faut dormir sous une moustiquaire "imprégnée" par des dérivés de la pyréthrine, si vous n'êtes pas dans un hôtel climatisé (attention aux coupures d'électricité). D'autres petits moyens sont efficaces : diffuseur électrique d'insecticide (coupures du courant ?), papier tue-mouche ...

  • en cas de séjour dans un pays du groupe I : le traitement préventif fait appel à la chloroquine (ex: Nivaquine® en France). (traitement quotidien débuté la veille du jour d'exposition au risque et poursuivi pendant 4 semaines après le retour)

  • en cas de séjour dans un pays du groupe II  et du groupe III  : la prévention repose sur l'association de chloroquine (ex: Nivaquine®) et proguanil (ex: Paludrine®), se présentant aussi sous une forme associant les deux produits: Savarine® pour les adultes. (traitement journalier commencé 1 jour avant l'exposition au risque de paludisme, et poursuivi pendant 4 semaines après le retour) ou mieux MALARONE® ; pour un pays du groupe III : la méfloquine (ex: Lariam®) est préconisée et ne peut être utilisée que pour des séjours de 3 mois maximum. C'est un produit qui n'est pas toujours bien supporté (troubles neurologiques) et il est déconseillé chez l'enfant de moins de 15 kilos et la femme enceinte. (traitement hebdomadaire à débuter 7 jours avant le séjour en zone impaludée, et prolongé pendant 3 semaines après l'éviction du risque)

 

Alimentation et boissons
De nombreuses maladies sévissent à cause d'une mauvaise hygiène (absence de lavage répété des mains, méthodes de conservation des aliments douteuse...). Préférez des eaux minérales ou purifiées par vous. (même pour le Brossage des dents)
Il faut exiger des bouteilles capsulées hermétiquement et DÉCAPSULÉES DEVANT VOUS.
Il faut couvrir les plats (mouches), ne mangez pas de légumes crus et pelez vos fruits, évitez les poissons crus et fruits de mer si vous doutez de l'hygiène locale et de la fraîcheur. ÉVITEZ les GLACES et les GLAÇONS. 

 

Le climat
LE SOLEIL  : insolation, coup de chaleur
sont fréquemment rencontrés dans les premiers jours : se protéger par des vêtements couvrants (bras, thorax) , des lunettes et un chapeau. Boire régulièrement et utiliser des crèmes solaires efficaces.
LE FROID : gelures, hypothermie
(température du corps à 35°) apparaissent très vite en haute montagne, même en été. Il faut toujours prévoir des vêtements adaptés (couverture de survie), privilégier une alimentation riche (glucides et lipides), des boissons, et ne pas rester immobile si possible
L'ALTITUDE : le mal des montagnes (à partir de 3500 m d'altitude) :
maux de tête, nausées, vertiges, perte d'appétit. Pour éviter ces troubles, il faut progresser par palier de montée : 400 m par jour. Ce problème peut être grave et nécessiter un caisson de compression (il existe des caissons simples : sac souple, fermé, et rempli d'air par une pompe, sous contrôle d'un manomètre).

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les piqûres et morsures d'animaux
Pour se protéger des piqûres et morsures portez des vêtements adaptés : chaussures fermées et montantes, couvrir les avant-bras et les jambes. Utilisez des répulsifs. Martelez le sol ou frapper le sol avec un bâton dans des hautes herbes.
Dormir sous une moustiquaire imprégnée et SECOUER VOS VêTEMENTS et vos CHAUSSURES LE MATIN.

 

Tableau récapitulatif des principaux éléments du diagnostic des fièvres tropicales:

fièvre isolée Paludisme
fièvre + suppuration Amibiase tissulaire, Leishmanioses cutanées
fièvre + diarrhée Salmonellose, Shigellose, Hépatite Virale, Paludisme
fièvre + splénomégalie (grosse rate) Paludisme, Borréliose, Batronellose, Leishmaniose, Salmonellose, Septicémie
fièvre + adénopathies (ganglions) Trypanosomiase, Maladie de Chagas, Filariose, Peste, Toxoplasmose
fièvre + éruption cutanées Dengue, Rickettsiose, Lèpre, Trypanosomiase 
fièvre + ictère (jaunisse) Fièvre jaune, Hépatite virale
fièvre + troubles neurologiques Méningite, Trypanosomiase, Paludisme, Dengue
fièvre + pneumopathie Fièvre Q, Légionellose, Amibiase
fièvre + éosinophilie sanguine Bilharziose, Distomatose, Larva-migrans, Trichinellose, Hydatidose, Filariose

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LA TROUSSE MéDICALE  :

  1. sparadrap, coton, bandages, pansements, compresses stériles, épingles de sûreté, petits ciseaux, pince à échardes
  2. savon de Marseille, antiseptique, désinfectant à usage externe 
  3. désinfectant de l'eau (par ex: eau de Javel 12° - 3 gouttes par litre -, comprimés,  gourde PentaPure Sport®,  paille, gobelet ... -),  pour conserver l'eau (sel d'argent, par ex: Micropur®)-  Se renseigner dans les Magasins spécialisés -
  4. antidiarrhéique ,  antibiotique intestinal , papier toilette (souvent rare dans le tiers-monde)
  5. antispasmodiques 
  6. antiémétique (vomissements) - patch ou comprimé
  7. antihistaminique (allergie)
  8. pommade antiprurigineuse (grattage)
  9. crème solaire, stick de protection des lèvres, lunettes de soleil, pommade contre les brûlures
  10. produit de rinçage des yeux, larmes artificielles, collyre, lunettes correctrices si port de lentilles
  11. crème répulsive contre les moustiques, insectifuge (serpentins incandescents, diffuseurs insecticides)
  12. antalgique, antipyrétique (paracétamol ) , pommade anti-inflammatoire
  13. antibiotiques (connaître la tolérance : allergie )
  14. contraceptifs oraux, préservatifs, protections périodiques

éventuellement selon les régions et les besoins : à rajouter à la liste précédente

  1. bandes de contention, compresses stériles, tulle gras et bétadiné, mèches
  2. matériel de suture, agrafes, bistouri, ciseaux droits, 2 pinces de Kocher, un champ stérile
  3. couverture de survie
  4. médicaments cardiologiques : trinitrine, diurétique puissant (OAP)
  5. médicaments digestifs : anti-acide  
  6. médicament anti-infectieux
  7. médicaments à visée  pneumologique : salbutamol en aérosol (ex: Ventoline® )
médicaments divers : corticoïdes , adrénaline, atropine, lidocaïne 1% (gel et injectable) , diazépam (injectable et rectale) (ex: Valium®), soluté de réhydratation , eau pour préparation, glucose 30%, un soluté de remplissage.

 

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